lundi 30 mai 2016

Il faut toujours relativiser.



En Colombie, deux narcotrafiquants arrivent à un ranch en amenant un prisonnier.

A l’intérieur, il y a un colosse noir de 1,98 m et 140 kilos de muscles, mélange de Mongol et d’Africain, qui se cure les ongles avec un grand couteau de boucher.

- « Dis donc, Noiraud, le chef demande que tu encules ce prisonnier pour lui apprendre à ne pas faire le malin avec notre bande » !

- « OK, mettez-le dans un coin je m’en occupe tout-à l’heure »

Quand les narcotrafiquants s’en vont, le type implore :

- « S’il vous plaît, Monsieur, ne faites pas ça, si vous m’enculez , je suis déshonoré et ma vie est finie, ayez pitié pour l’amour de Dieu »

- « Ferme ta gueule, pédé, et tiens-toi tranquille »

Un moment plus tard, les deux narcotrafiquants reviennent avec un autre infortuné prisonnier.

- « Dis donc, Noiraud, le chef a ordonné qu’à celui-là tu lui coupes les deux mains et tu lui crèves les yeux pour lui apprendre à ne pas toucher à l’argent de la drogue »

- « Laisse-le là, je m’en occupe dans un instant »

Une heure plus tard, ils ramènent un autre prisonnier.

- « Négro, à celui-ci tu lui coupes les couilles et la langue pour lui apprendre à ne plus jamais fricoter avec les gonzesses du quartier »

- « C’est bon, foutez-le dans le coin avec les autres »

Finalement, ils en amènent un quatrième.

- « Dis donc, Négro, celui-là tu le coupes en petits morceaux et tu envoies tous les morceaux à sa famille » !

À ce moment, le premier type dit au nègre à voix basse :

- « Monsieur le Noir, s’il vous plaît, n’allez surtout pas confondre. ! celui que vous devez enculer, c’est moi.. !!! D’accord ?»


MORALITÉ : Au fur et à mesure que vous connaissez les problèmes des autres, vous vous rendez compte que le votre n’est pas si grave…

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